Encore la pandémie.
La pandémie version urbaine avec ses restrictions de tous genres a eu raison de ma volonté.
Je me suis réfugiée à la campagne. Terrée dans mon chalet, j’ai les yeux et les oreilles en alerte.
Je redécouvre les sons lointains : un bateau ou un avion? une mouette ou une outarde? Le bruit d’une tondeuse à gazon de l’autre côté de la baie?
Je me rééduque au vent, à sa présence, à sa force, à sa direction.
Mon nez fait aussi du surtemps. Est-ce l’odeur de la naphtaline, du chauffage prolongé ou du vieux bois?
Je revois le héron, parfois la buse.
La saison débute, et avec le froid, le grand lac est peu fréquenté.
et je poursuis mes explorations…
Profite bien de la belle nature de ton chalet. “Pognée” en ville, je dois avouer que je t’envie. Salue le héron de ma part
bon séjour au chalet Diane, et merci pour tes reflections! t’embrasse…
Merci, je fais de mon mieux