Je ne m’habituerai jamais.

Je croise des personnes, munies de leur fils, qui parlent à haute-voix.

Elles ignorent leur environnement et poursuivent leur conversation et leur route.

J’entends leur conversation lorsqu’elles sont assises, toutes fenêtres ouvertes, Dans leur véhicule, sagement stationné.

D’autres, également munis de leur fils, se promènent vélo et conversent gaîment.

Je ne m’habitue pas

2 réflexions sur “Je ne m’habituerai jamais.

  1. hi Diane!

    I think it was in his memoir, *The Facts: A Novelist’s Autobiography*, that Philip Roth talked about leaving his country home and visiting Manhattan for the first time in years–he had a doctor’s appointment, as I recall–and being stunned at the spectacle of all these people walking around town whose ears had somehow managed to sprout these things called « cell phones » that nevertheless had to be held in place by hand.

    He never got used to it either! lol

    bisous

    Éric

    Virus-free. http://www.avg.com

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