La parlure québécoise

Entre les québécismes (expression d’Antidote), le joual et la tradition orale, certains québécois naviguent allègrement. Voici quelques exemples de ce drôle de langage. Désolée amis Français, ce charabia est incompréhensible

 

C’est malade!

Pas pire…

Han! pas vrai!

T’es un pourri.

Ça coûte une beurrée!

Il suit comme un chien de poche.

Mets ta bougrine.

Quelle grébiche!

Il a le feu au cul.

Je suis pompé!

Fucker le chien, c’est emmerdant!

Elle s’enfarge dans …

Un hostie de baveux!

Espèce de vlimeux!

Il faut le déniaiser…

Mange de la marde!

Attache ta tuque!

 

Et bien d’autres…

 

4 réflexions sur “La parlure québécoise

  1. Merci Diane pour ce brin de soleil qui perce cette belle bordée de neige. C’et rafraîchissant à lire et je suis, de plus, très fière de comprendre. Une autre expression de mon enfance que je ne trouve nulle part maintenant c’est un BRÛLOT qui signifiait un briquet. Au plaisir, c’est toujours PLAISANT de te lire! Raymonde.

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